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Décembre 2012: Brûnnhilde ( RING SAGA / ITALIE- REGGIO EMILIA)
.."Nel cast spicca la Brünnhilde di Cécile De Boever, ottima voce ed anche ottima presenza e padronanza del personaggio e molto struggente e coinvolgente nel finale della saga in cui è unica protagonista..."
Critique OperaWorld.

De Septembre à décembre 2011

[Brünnhilde] «Ring Saga» — Casa da Musica (Porto), Festival Musica (Strasbourg), Cité de la Musique (Paris), Théâtre (Cæn), Grand Théâtre du Luxembourg



« … Deux révélations enfin (…) Quant à Cécile de Boever, sa Brünnhilde laisse simplement pantois par la pugnacité d’un aigu de braise, et le don absolu d’une Immolation suffocante d’émotion (…) » — http://www.altamusica.com, Mehdi Mahdavi

« … et révélation avec La Brünnhilde de Cécile De Boever dont l’insolence évoque celle d’une Gwyneth Jones. »
— Diapason, E.Dupuy.

« … Le plateau est dominé par l’étonnante Cécile De Boever qui est, dans tous les sens du verbe, Brünnhilde. On la retrouve à Caen dans une forme vocale éblouissante, qui jointe à son art de la scène, en font la plus convaincante des Walkyries. C’est vraiment « la vierge téméraire qui accourt en jubilant ! » : son entrée, opulente poitrine en avant en forme de défit, restera gravée dans tous les esprits. La voix est claire et puissante, la justesse et la diction parfaites, avec une alternance d’énergie et d’émotion, bref un régal — Forumopera.com, Jean-Marcel Humbert »

« … Cécile De Boever als Brünnhilde vor allem mit grandiosem Schlussgesang… » — opernnetz.de, Franz R. Stuke

« … Concernant les potentielles jeunes étoiles Wagnériennes, la plus radieuse étant la Soprano Cécile De Boever, interprétant le rôle de Brünnhilde avec une puissance vocale pouvant prétendre à un orchestre plus monumental. »
— Publico, Diana Ferreira

« … Dans Walkyrie, c’est surtout la superbe Brünnhilde campée par Cécile De Boever qui a remportée tous les suffrages….»
«… Dans Siegfried, (…) Cécile De Boever, Brünnhilde de braise »
— La Croix , Bruno Serrou
« … Parmi les chanteurs qui sortent du lot, la Brünnhilde bravache et un peu pestouille de Cécile De Boever… »
— Le Monde, M. A. Roux
« … La Walkyrie émerveille de bout en bout avec des voix surprenantes et en rien "miniatures : La Brünnhilde de Cécile De Boever darde ses aigus avec une aisance incroyable."
— ConcertClassic.com, Alain Cochard
« … et puis surtout Cécile De Boever, une Brünnhilde impériale de puissance naturelle ».
— Bien Culturel.
« … Sans Cécile De Boever qui a été une formidable Brünnhilde tout au long des 3 journées , la représentation du Crépuscule des Dieux eut perdu beaucoup de son intérêt . Dans une des scènes de Die Walkyrie, elle chantait comme si elle pleurait en même temps. L'effet était saisissant… »
— Opera Blog, Joël Riou.



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Février 2010

[Rosalinde] Die Fledermaus — Staatstheater Cottbus



« … seine Gattin Rosalinde, die von Cécile De Boever genauso wunderbar gesungen… » — Märkische Oberzeitung von Uwe Stiehler .
« … Cécile De Boever als grandios schmachtende, sich verzehrend auf die Lippen beiBende Rosalinde stimmlich und spielerisch ihr bestechendes Debût am Haus… » — Märkische Allgemeine von Martin Stefke.



Avril 2009

[Donna Anna] Don Giovanni — A. Lírica L. Mariano d'Irùn


« …Cécile De Boever (Donna Anna) parut très à l'aise dès le début. Elle surprit par sa puissance vocale, capable de projeter un volume impressionnant. Elle montra une femme dure, forte et son air “Or sai chi l'onore” fut un des meilleurs moments de la soirée… » — Blog de world Press.com Opera by Ulysses Ronquillo.


« …Cécile De Boever,Donna Anna, se sortit particulièrement bien des aigus et montra de beaux accents dans le reste du rôle… » — Deia.com par J.A.Z .


Juillet 2008

[Caroline] La Chauve Souris — Festival de Gattières


« … Caroline (Cécile De Boever) la superbe professionnelle » — Nice Matin (Renaud Brandi)

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Décembre 2007

[Caroline] La Chauve Souris — Opéra Théâtre de Metz


« Cécile De Boever (Caroline), physique de star, voix ronde aux aigus dardés, compose un personnage fouillé. Le deuxième acte (éblouissante Czardas) offre une grande leçon de comédie et de musicalité. » — ConcertClassic.com (Bernard Niedda, décembre 2007)


Octobre 2007

[Récital Giordano] — Liceo de Barcelone


« Cécile De Boever fut avec le Baryton, lors de cette soirée, la voix la plus tendre, la plus chaude et possédant un bon matériel. À la voix considérablement lyrique aux accents dramatiques, un bon legato et une classe interprétative élégante, De Boever nuance avec style les belles mélodies de Giordano. » — La porta Clàssica (Jordi Maddaleno, octobre 2007)


Mars 2007

[Ännchen] Der Freischütz — Deutsche Oper Berlin


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« Délicieuse, Cécile De Boever explore avec talent les différentes facettes de la personnalité d’Ännchen, tour à tour confidente et soubrette, avec un lyrisme sans faille. » — Opéra Magazine (Jean-Marc Proust, Mai 2007)

« (…) erfreute Cécile De Boever als Ännchen immerhin mit einer runden, unverbrauchten, dem Soubrettenfach eigentlich schon entwachsenen Sopranstimme (…) » — Opernglas (U. Ehrensberger, May 2007)

« Cecile De Boever delivered a suitably feisty Annchen despite the indignity of having Max peer down her cleavage. » — Bloomberg.com (Shirley Apthorp, 27 March 2007)

« lebendig wie couragiert setzte sich Cécile De Boever als Ännchen durch » — Frankfurter Allgemeine Zeitung (Martin Wilkening, 26 March 2007)

« (…) besser geht es den Frauen. Das wiederum liegt nicht an der Regie, sondern an Cecile De Boever als Ännchen (…) » — TAZ (26 March 2007)

« Cecile De Boever ist ein ganz anderes Singkaliber, das sich höchst erfreulich zu dem der Kaune fügt. Sie setzt dem Lyrismus der Heldin ihre dralle Aufgewecktheit entgegen, kein Koloratur-Mäuschen, sondern eine tatkräftig resche Person » — Berliner Morgenpost (Klaus Geitel, 26 March 2007)

« (…) Auch Cécile De Boever oder Reinhard Hagen und Will Hartmann stimmlich absolut auf ihren Höhen ! » — Kultura extra (Andre Sokolowski - red / 26. März 2007)


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Juin 2007

[Woglinde] Das Rheingold — Opéra de Strasbourg


« Among the smaller roles, Cécile De Boever’s strong soprano as Woglinde stood out… » — magazine Britannique «Opera Magazine» (Rodley Miles, June 2007)



Décembre 2006

[Caroline] Die Fledermaus — Capitole de Toulouse


« avec une Cécile De Boever très en voix qui semble trouver du plaisir à se laisser troubler par un Alfred (…) avant une Csardas fort réussie au second acte » — Forumopera (Maurice Salles, 27 December 2006)

« (…) La Caroline (Rosalinde) de Cécile De Boever à la voix souple. » — UT mi SOL (Marc Laborde, Mars 2007 )

« Cécile De Boever est une Caroline intense aux inflexions longues, joliment idiomatiques et porteuses. » — Opérette (D.R., Février 2007)

« Sur le plateau de la représentation du 27 décembre, la Soprano Cécile De Boever domine la distribution tant sur le plan vocal que scénique… » — La dépêche du Midi (A.Marie Chouchan, 30 décembre 2006)


Juin 2006

[Livietta] Le Nozze di Dorina [Galuppi] — Musikfestspiele Potsdam Sanssouci


« Cecile De Boever y Matthias Vieweg defendieron con mucha resolucion a la tercera pareja, Livietta y Titta… » — Scherzo (U. Ehrensberger, October 2006)

« Temperament und stimmliche Attacke bewies Cécile De Boever als Dienstmädchen Livietta… » — Opernglas (U. Ehrensberger, October 2006)

« Und über Cecile De Boever lachte man noch Stunden später – eine herrliche Verkörperung… » — Orpheus (Geerd Heinsen, October 2006)

« Das zickige bis resolute Dienstmädchen Livietta wird durch Cecile De Boever stimmdrall charakterisiert. » — Potsdammer Neueste Nachrichten (Peter Buske, 9 June 2006)

« Als het kamermeisje Dorina zorgde de uit Napels afkomstige sopraan Maria Grazia Schiavo voor heerlijke zangnummers. Dit was ook het geval voor de sopraan Cecile De Boever als het dienstmeisje Livietta. » — Opera Gazet (17 June 2006)

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Mars 2006

La voix humaine — Théâtre de Villefranche-sur-Saône


« Cécile De Boever a de suite captivé le public. Interprète unique de cette tragédie lyrique en un acte, elle a su donner à son personnage toute sa dimension, terriblement souffrante. » — Le Progrès (8 Mars 2006)


«Si j'écris je dérange. Si je tourne un film, je dérange. Si je peins, je dérange. Si je montre ma peinture, je dérange et je dérange si je ne la montre pas. J'ai la faculté de dérangement. Je m'y résigne, car j'aimerais convaincre»
Jean Cocteau, Journal d'un inconnu
[Jean Cocteau, portrait : Kisling]



Janvier 2006

[Despina] Cosi fan tutte — Opéra d'Avignon


« Du coté des dames, on retrouve toujours avec plaisir Cécile De Boever en Despina (…) » — Opéra Magazine

« Cécile De Boever : très aérienne » — Midi Libre

« Le trio féminin n’a eu aucune carence vocale et s’est acquitté d’un style tout à fait mozartien. C’est Despina (Cécile De Boever) dans son rôle de tradition comique. » — La Marseillaise

« (…) Cécile De Boever, Despina sentencieuse et pétulante à la fois. » — Le Comtadin-Vaucluse


Décembre 2005

[Nadia {Valencienne}] La veuve joyeuse (Die lustige Witwe) — Capitole de Toulouse


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« Cécile De Boever et Gilles Ragon font preuve d’une belle application. » — Opéra Magazine

« Le couple Nadia-Camille (…) est lui aussi très en situation et s’intègre parfaitement à la classe qui préside au spectacle. » — La Gazette du Midi-Toulouse

« Cécile De Boever (Nadia) ne manque pas d’abattage. » — L’Opinion Independante-Toulouse



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Octobre 2004

[Karolka] Jenufa — Capitole de Toulouse


« Mention Spéciale pour Cécile De Boever dont la courte intervention en Karolka a suffi pour donner un aperçu convaincant : Il faudra surveiller ce soprano lyrique charnu. » — Diapason (Michel Parouty)


Décembre 2003

Dido & Aeneas — CD


«Le chef d’œuvre de Purcell hérite d’un plateau de rêve. Les surprises sont pourtant associées aux noms les moins connus : La Seconde Dame de Cécile De Boever nous livre une saisissante évocation de la mort d’Actéon, parcourue par un sentiment d’urgence et d’angoisse inouï. » — Crescendo (Déc 2003/Janv 2004). Critique du CD « Dido and Aeneas » de Purcell, direction E. Haïm chez Virgin Classics.


Juillet 2002

[Zerlina] Don Giovanni — Opéra de Montpellier


« En définitive, seule la Zerlina de Cécile De Boever n’appelle aucun reproche. Habituée des rôles mozartiens, la soprano bénéficie d’une aisance dans l‘aigu et d’un medium au timbre corsé » — Opéra International (Juillet/Août 2002)

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Photo : © Christelle Mauve (bandeau), © Divers auteurs (page)